Seminario: Un año después de la Cumbre UE-CELAC:
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Une coopération euro-latino-américaine, laboratoire de l’agenda 2030
Les tensions géopolitiques qui caractérisent la scène internationale questionnent l’espace que conserveront à l’avenir les logiques de coopération face à des logiques de confrontation toujours plus fortes. Pourtant, les enjeux globaux – climat, biodiversité, pandémies, inégalités – autour desquels a été structuré l’agenda 2030 ne sauraient être plus prégnants. Pour y répondre, des alliances stratégiques renforcées et renouvelées sont indispensables. L’Europe et l’Amérique latine y ont intérêt. Dès lors, la coopération entre les deux régions peut servir à renforcer ces défis communs.
Une convergence normative et politique
L’intérêt que l’Amérique latine porte à l’OCDE ouvre un espace de rapprochement normatif avec l’Europe. Quatre pays latino-américains sont membres de cette organisation : le Mexique (1994), le Chili (2010), la Colombie (2020) et le Costa Rica (2021). Ces derniers ont développé des outils bilatéraux de coopération qui montrent à la fois une volonté de projection et d’assumer des responsabilités accrues sur le plan international. Une dynamique que l’on retrouve au niveau européen, en ce que l’Espagne en a fait l’une des priorités de sa présidence du Conseil de l’UE en 2023. Par ailleurs, et avec l’objectif européen d’une neutralité carbone en 2050 en ligne de mire, l’Amérique latine, faiblement émissive au regard de son niveau de développement et laboratoire d’initiatives en faveur des droits environnementaux, a sans doute plus de leçons à donner qu’à recevoir.
Vers une coopération renouvelée
Les Objectifs de Développement Durables (ODD) ont apporté un renouvellement de l’agenda international avec, en particulier, le sujet des inégalités, du rôle des villes et du développement urbain et, naturellement, de l’intégration à part entière du climat dans cet agenda.
Le rôle des villes est particulièrement crucial en Amérique latine compte tenu du taux d’urbanisation (révélateur d’une tendance mondiale). Des modes de faire innovants ont été développés par la coopération française, comme par exemple le financement direct des programmes d’investissement des villes ou des provinces latino-américaines : Barranquilla, Guayaquil, Curitiba, etc.
Le sujet des inégalités est, de longue date, prégnant en Amérique latine. La pandémie de la Covid-19 en a rappelé la pertinence et l’urgence. Plus largement, la question de la place des classes moyennes et de leurs attentes est aujourd’hui un enjeu majeur, pour la cohésion sociale, pour la transition écologique, pour la résilience démocratique. Ce sujet n’est pas sans résonance avec la situation européenne. L’acceptabilité sociale d’une transition écologique nécessaire est sans doute un champ de coopération encore insuffisamment exploré entre l’Europe et l’Amérique latine. Dans la mesure où une telle transition suppose la mobilisation d’acteurs publics et privés, de politiques publiques nationales et locales, des incitations fiscales, des investissements de long terme, il peut s’agir d’une ambition mobilisatrice à la fois pour les investisseurs privés mais aussi pour les politiques et les agences de coopération bilatérale, pour les collectivités locales, etc.
D’autres formes de coopération pour relever les grands défis
La relation stratégique entre les deux régions doit être repensée. Alors que l’UE recherche une autonomie stratégique accélérée (dans un contexte international de plus en plus incertain et compliqué), avec une transformation profonde basée sur sa triple transition verte, numérique et sociale, l’Amérique latine et les Caraïbes, avec un grand potentiel et une grande richesse, et 40 % de la biodiversité de la planète, cherchent à réduire leurs écarts et asymétries avec des politiques sur le même modèle que l’Europe.
Les défis auxquels les deux régions sont confrontées sont énormes et nécessitent d’énormes quantités de capitaux, non seulement publics mais aussi privés. De nouvelles formes de financement sont recherchées, qui ont un impact sur le développement de la région et qui sont complémentaires au modèle de coopération traditionnel, enrichissant ainsi le partenariat stratégique entre les deux régions. Les programmes européens tels que l’Agenda du Global Gateway permettent, grâce aux investissements européens, d’accompagner cette triple transition, en mettant en œuvre la valeur ajoutée locale, la création d’emplois formels, l’innovation par l’échange de technologies, l’augmentation de la productivité et la réduction de la pauvreté, sur la base de normes et de standards. Le dialogue politique entre l’UE et les gouvernements des pays de la région est crucial pour concentrer les investissements sur les priorités de développement établies par chaque pays d’Amérique latine et des Caraïbes.
La nécessaire mobilisation des systèmes financiers et des capitaux privés
Pour la France comme pour l’Espagne ainsi que la plupart des états membre de l’UE dont le dispositif de coopération international le permet, les relations avec les banques régionales latino-américaines (Corporación Andina de Fomento (CAF), Banco Centroamericano de Integración Económica (BCIE), Fonplata, en plus de la Banque interaméricaine de développement (BID)) sont un élément important de leur politique de coopération avec la région.
Par ailleurs, l’AFD a pris l’initiative de créer et de porter au premier plan plusieurs coalitions réunissant de nombreuses banques latino-américaines, aussi bien multilatérales, nationales et sous-nationales, publiques et privées. Ainsi, le groupe AFD travaille avec l’ensemble de l’Equipe Europe, en particulier avec les membres du Joint European Financiers for International Cooperation regroupant notamment la Kreditanstalt für Wiederaufbau (KFW) ou encore l’Agence espagnole pour la Coopération internationale au développement (AECID). Depuis 2017, l’AFD préside l’International Development Finance Club (IDFC) qui compte parmi ses 27 membres, 8 banques latino-américaines. L’AFD est également membre du secrétariat de l’Initiative Finance en commun (FICS) qui voit plus de 500 institutions se réunir chaque année et dont émane l’Alliance des Banques des Territoires en Amérique Latine et dans les Caraïbes. Ces banques latino-américaines ont joué un rôle actif et contra-cyclique pendant la pandémie de la Covid-19. Elles sont également de plus en plus actives en matière de financement de la transition écologique, comme leurs homologues européennes. Il y a donc là aussi un espace de développement de la coopération Europe-Amérique latine.
Enfin, l’augmentation de la richesse privée, la taille critique de certains acteurs philanthropiques internationaux, leur influence politique, et le besoin croissant de financement des ODD confèrent un caractère stratégique à la mobilisation partenariale et financière des acteurs privés. Leur poids grandissant, l’émergence de nombreuses fondations (d’entreprise ou familiales), fonds d’impact et d’un écosystème qui, par exemple, mutualise des ressources en dons au travers du « regranting », justifient une réflexion et une mobilisation plus ambitieuse. Le financement des ODD passera inévitablement par la mobilisation des capitaux privés et par l’émergence de modalités d’investissements innovantes et catalytiques, regroupant des acteurs diversifiés qui se mobilisent ensemble pour plus d’impact.
Le dialogue politique : une clé pour atteindre les objectifs fixés
Le sommet UE-CELAC, qui s’est tenu à Bruxelles en juillet 2023 (huit ans après le dernier), a démontré la volonté de tous les participants de tenir un dialogue stratégique bi-régional, qui est essentiel pour identifier les priorités et les défis et coordonner les efforts. Ce dialogue doit avoir lieu à tous les niveaux, afin d’être efficace et de rassembler le plus grand nombre d’acteurs possible.
La Fondation Euroamerica, qui fête cette année son 25ème anniversaire, a consacré toute son énorme activité au renforcement et à la consolidation des relations entre l’Union Européenne et l’Amérique latine, en créant d’innombrables espaces de dialogue et de discussion des deux côtés de l’Atlantique (24 forums en Amérique, 49 séminaires dans différentes villes européennes et plus de 300 activités à Madrid, où elle a son siège) entre le secteur public, le secteur privé et la société civile sur les deux continents. Au cours de ces 25 années, il a été le témoin non seulement de l’évolution des deux régions du monde, mais aussi des relations entre elles. Consciente que le contexte difficile actuel offre une opportunité unique pour que le partenariat entre l’UE et la région soit renforcé et matérialisé par des actions concrètes, elle met tous ses efforts au service de cet objectif, en collaborant activement avec tous les acteurs de la région, dans ce séminaire que nous traitons aujourd’hui avec l’AFD et la Commission européenne.
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La tenue de ce séminaire prend tout son sens, un an après une véritable dynamisation des relations dans le domaine du dialogue bi-régional au plus haut niveau avec le Sommet UE-CELAC.
Les questions abordées dans la partie introductive de cette note conceptuelle ont servi de base à la préparation de ce séminaire qui, sous le titre « Un an après le Sommet UE-CELAC, que reste-t-il de la mobilisation financière et des partenariats de part et d’autre de l’Atlantique pour un développement durable et un plus grand impact », met en évidence les grandes lignes d’une approche renouvelée du partenariat euro-latino-américain, mobilisant des financements publics et privés. Ce séminaire permettra de répondre de manière concertée aux défis de développement des prochaines décennies.
La première table ronde examinera les lignes d’action pour accélérer le développement d’une croissance durable et équitable en Amérique latine grâce à la collaboration et aux synergies entre les institutions européennes – à travers la stratégie Global Gateway -, l’investissement privé européen et les banques de développement européennes. La seconde table ronde permettra de mieux comprendre le rôle des acteurs privés dans la mobilisation des financements entre l’Europe et l’Amérique Latine.
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La cooperación euro-latinoamericana como laboratorio para la Agenda 2030
Las tensiones geopolíticas que caracterizan la escena internacional cuestionan el alcance futuro de la cooperación frente a una confrontación cada vez mayor. Sin embargo, los desafíos globales -clima, biodiversidad, pandemias, desigualdades- en torno a los cuales se ha estructurado la Agenda 2030 no podrían ser más acuciantes. Para hacer frente a estos retos es esencial reforzar y renovar las alianzas estratégicas y Europa y América Latina tienen interés en ello. Por ello, la cooperación entre ambas regiones puede servir para reforzar estos retos comunes.
Convergencia normativa y política
El interés de América Latina por la OCDE abre un espacio de convergencia normativa con Europa. Cuatro países latinoamericanos son miembros de esta organización: México (1994), Chile (2010), Colombia (2020) y Costa Rica (2021), habiendo desarrollado herramientas de cooperación bilateral que demuestran tanto su voluntad de proyectarse como de asumir mayores responsabilidades en la escena internacional. Esta dinámica se refleja a escala europea, donde España ha hecho de ello una de las prioridades de su Presidencia del Consejo de la UE en 2023. Además, con el objetivo europeo de neutralidad de carbono para 2050 en el punto de mira, América Latina, que tiene bajas emisiones en relación con su nivel de desarrollo y es un laboratorio de iniciativas a favor de los derechos medioambientales tiene, sin duda, más lecciones que dar que recibir.
Hacia una cooperación renovada
Los Objetivos de Desarrollo Sostenible (ODS) han supuesto una renovación de la agenda internacional, en particular con el tema de las desigualdades, el papel de las ciudades y el desarrollo urbano y, naturalmente, la plena integración del clima. El papel de las ciudades es especialmente crucial en América Latina, dado el ritmo de urbanización (indicativo de una tendencia mundial). La cooperación francesa al desarrollo ha desarrollado enfoques innovadores, como la financiación directa de programas de inversión en ciudades o provincias latinoamericanas: Barranquilla, Guayaquil, Curitiba, etc.
Las desigualdades han sido durante mucho tiempo un problema importante en América Latina. La pandemia de Covid-19 nos recordó su relevancia y urgencia. En términos más generales, el rol de las clases medias y de sus expectativas es hoy un tema capital para la cohesión social, la transición ecológica y la resiliencia democrática. Esta cuestión no deja de tener resonancias en la situación europea. El alcance social de una transición ecológica necesaria es, sin duda, un ámbito de cooperación entre Europa y América Latina que aún no se ha explorado suficientemente. En la medida en que dicha transición requiere la movilización de actores públicos y privados, políticas públicas nacionales y locales, incentivos fiscales e inversiones a largo plazo, puede suponer una ambición que movilice igualmente a otros actores como inversores privados, agencias de cooperación bilateral, autoridades locales, etcétera.
Otras formas de cooperación para afrontar los grandes retos
Es necesario repensar la relación estratégica entre las dos regiones. Mientras que la UE busca una acelerada autonomía estratégica (acuciada por el cada vez más incierto y complicado contexto internacional), con una profunda transformación basada en su triple transición verde, digital y social, América Latina y el Caribe, con gran potencial y riqueza, y el 40% de la biodiversidad del planeta, busca reducir sus brechas y asimetrías con políticas que van en esa misma línea europea.
Los retos que afrontan ambas regiones son enormes y requieren ingentes sumas de capital, no sólo público sino también privado. Se buscan nuevas formas de financiación que impacten en el desarrollo de la región y que sean complementarias con el modelo de cooperación tradicional, enriqueciendo la asociación estratégica entre ambas regiones. Programas europeos como la Agenda de Inversiones Global Gateway permiten, a través de inversiones europeas, acompañar esa triple transición, implementando valor agregado local, creación de empleo formal, innovación a través de intercambio de tecnología, aumento de la productividad y reducción de la pobreza, sobre una base de normas y estándares. Es crucial el diálogo político entre la UE y los gobiernos de los países de la región, para poner el foco de las inversiones en la prioridad de desarrollo que establezca cada uno de los países latinoamericanos y caribeños.
La necesidad de movilizar los sistemas financieros y los capitales privados
Para Francia, España y la mayoría de los Estados miembros de la UE cuyos acuerdos de cooperación internacional lo permiten, las relaciones con los bancos regionales latinoamericanos (CAF-Banco de Desarrollo de América Latina y el Caribe, el Banco Centroamericano de Integración Económica (BCIE), Fonplata, o el Banco Interamericano de Desarrollo-BID) constituyen un elemento importante de su política de cooperación con la región.
Más aún, la AFD ha tomado la iniciativa de crear y poner en primer plano varias coaliciones que reúnen a numerosos bancos latinoamericanos, tanto multilaterales como nacionales y subnacionales, públicos y privados. De este modo, el Grupo AFD colabora con todo el Team Europe, en particular con los miembros del Joint European Financiers for International Cooperation, del que forman parte Kreditanstalt für Wiederaufbau (KFW) y la Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID). Desde 2017, la AFD preside el Club Internacional de Financiación del Desarrollo (IDFC), entre cuyos 27 miembros se encuentran 8 bancos latinoamericanos. La AFD también forma parte de la secretaría de la Iniciativa Finanzas en Común (FICS) que reúne a más de 500 instituciones cada año y de la que emana la Alianza de Bancos Territoriales de América Latina y el Caribe. Estos bancos latinoamericanos desempeñaron un papel activo y anticíclico durante la pandemia de Covid-19 y son cada vez más activos en la financiación de los países en desarrollo, así como en la transición ecológica, al igual que sus homólogos europeos. Así pues, hay margen para desarrollar la cooperación entre Europa y América Latina.
Por último, el aumento de la riqueza privada, el tamaño crítico de ciertos actores filantrópicos internacionales, su influencia política y la creciente necesidad de financiar los ODS hacen que la movilización de asociaciones y financiación de actores privados sea una cuestión estratégica. Su peso creciente, la aparición de numerosas fundaciones (empresariales o familiares), de fondos de impacto y de un ecosistema que, por ejemplo, pone en común los recursos de las donaciones a través del “regranting“, justifican una reflexión y movilización más ambiciosas. La financiación de los ODS requerirá inevitablemente la movilización de capital privado y la aparición de formas de inversión innovadoras y catalizadoras, que reúnan a una amplia gama de actores que trabajen juntos para lograr un mayor impacto.
El diálogo político: clave para la consecución de los objetivos señalados
La Cumbre UE-CELAC de jefes de Estado y de gobierno, celebrada en Bruselas en julio de 2023 (tras ocho años desde la última), puso de manifiesto la voluntad de todos los asistentes de mantener un diálogo estratégico birregional, clave para identificar las prioridades y los retos, y coordinar los esfuerzos. Este diálogo ha de ser a todos los niveles, para que resulte eficaz y agrupe al mayor número de actores posibles.
La Fundación Euroamérica, que celebra este año su XXV Aniversario, ha dedicado toda su ingente actividad a fortalecer y estrechar las relaciones entre la UE y América Latina, creando un sinfín de espacios de diálogo y discusión a ambos lados del Atlántico (24 foros en América, 49 seminarios en distintas ciudades europeas y más de 300 actividades en Madrid, donde tiene su sede) entre el sector público, el privado y la sociedad civil de ambos continentes. Durante estos 25 años ha sido testigo, no sólo de la evolución de las dos regiones del mundo, sino también de las relaciones entre ambas. Consciente de que el difícil contexto actual ofrece una oportunidad única para que se refuercen y materialice en acciones concretas la asociación entre la UE y la región, pone todo su esfuerzo en este objetivo, colaborando activamente con todos los actores que actúan en la región, en este seminario que hoy nos ocupa con AFD y con la Comisión Europea.
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La celebración de este seminario tiene mucho sentido, un año después de que se haya producido un impulso real a las relaciones en el ámbito del diálogo birregional al más alto nivel con la Cumbre UE-CELAC.
Las temáticas abordadas en la parte de introducción de esta nota conceptual han servido de base para la preparación de este seminario que, bajo el título Un año después de la Cumbre UE-CELAC, ¿Cuáles son los restos de la movilización financiera y de las alianzas en ambos lados del Atlántico para un desarrollo sostenible y un mayor impacto?, pone de relieve las grandes líneas de un enfoque renovado de asociación euro-latinoamericana, movilizador de financiaciones públicas y privadas, que permita actuar de manera concertada y hacer frente a los retos de desarrollo de las próximas décadas.
La primera mesa redonda examinará las líneas de acción para acelerar el desarrollo de un crecimiento sostenible y justo en América Latina a través de la colaboración y las sinergias entre las instituciones europeas – a través del Global Gateway Investment Agenda -, inversión privada europea y banca de desarrollo europea. La segunda mesa redonda permitirá comprender mejor el papel de los actores privados en la movilización de la financiación entre Europa y América Latina.
16 mai /16 mayo
Début: 14,00h.
Programme à imprimer / Programa para imprimir
Intervenants par ordre alphabétique / Ponentes en orden alfabético
Traduction français et espagnol14.00h Accueil et café de bienvenue / Registro y café de bienvenida
14.30h Session d’inauguration / Sesión de inauguración
PHILIPPE ORLIANGE
Directeur Exécutif des Géographies à l’Agence française de développement
Director ejecutivo para países, Agencia Francesa de Desarrollo, AFDRAMÓN JÁUREGUI
Président de la Fondation Euroamerica
Presidente de la Fundación EuroaméricaDiscours d’ouverture: / Intervención de inauguración:
Amérique latine et Caraïbes : Contexte actuel et défis futurs
América Latina y el Caribe: Contexto actual y desafíos de futuro
LAURA CHINCHILA (online)
Présidente du Costa Rica (2010-2014)
Presidenta de Costa Rica (2010-2014)15.00h Session 1: Comment l’Union européenne et ses États membres peuvent-ils, par le biais de leurs différents programmes et acteurs financiers, accélérer les investissements en faveur d’une croissance durable et résiliente en Amérique latine?
Sesión 1: ¿Cómo puede la Unión Europea y sus Estados Miembros, a través de sus diferentes programas y agentes financieros, acelerar la inversión para lograr un crecimiento sostenible y resiliente en América Latina?Introduction et modération: / Introducción y moderación: JOSÉ IGNACIO SALAFRANCA
Premier Vice-Président de la Fondation Euroamérica
Vicepresidente Primero de la Fundación EuroaméricaCLAUDIA ARCE
Directrice pour l’Amérique latine et les Caraïbes, KfW
Directora para América Latina y el Caribe de KfWLUZ STELLA CAMPILLO (online)
Sous-directrice du crédit public, Ministère des finances, Colombie
Vicedirectora de Crédito Público, Ministerio de Hacienda, Colombia
PHILIPPE DELLEUR
Président du Conseil d’entreprises France – Pérou, MEDEF International. Senior Vice-Président Affaires publiques de ALSTOM
Presidente del Consejo Empresarial Francia-Perú, MEDEF International. Senior Vicepresidente de Asuntos Públicos de ALSTOMFÉLIX FERNÁNDEZ-SHAW
Directeur pour l’Amérique latine et les Caraïbes, DG INTPA, Commission européenne
Director de América Latina y el Caribe, DG INTPA, Comisión Europea16.00h
Session 2: La Mobilisation des capitaux privés: quelles nouvelles solutions financières et quels partenariats pour plus d’impacts?
Sesión 2: La movilización del capital privado: nuevas soluciones financieras y nuevas alianzas para una transición justa con más impacto.
Introduction et modération / Introducción y moderación
MARIA DEL PILAR GARRIDO
Directrice de la Coopération et du Développement de l´OCDE
Directora de la Cooperación para el Desarrollo de la OCDEJOSÉ LUIS CURBELO
Président de COFIDES
Presidente de COFIDESANNE SOPHIE RAKOUTZ
Responsable de la mobilisation des financements privés, de la stratégie et des partenariats chez PROPARCO
Responsable de Movilización de la Financiación Privada, Estrategia y Partenariado de PROPARCO
DANIEL URIBE
Directeur exécutif de la Fundación Corona (online)
Director Ejecutivo de la Fundación CoronaSEBASTIAN WELISIEJKO (online)
Associé directeur, New Ventures
Socio Director, New Ventures17:00h
Discours de clôture: / Palabras de Clausura:
BRUNO BOSLE
Directeur Départament Mobilisation et Partenariats Internationaux à l’Agence française de développement
Director de Movilización y Asociaciones Internacionales de la Agencia Francesa de DesarrolloMARIE-PIERRE BOURZAI
Directrice du pôle Amérique latine à l’Agence française de développement
Directora de América Latina de la Agencia Francesa de DesarrolloCocktail
Session d’inauguration / Sesión de inauguración Discours d’ouverture: / Intervención de inauguración:
Session 1: Comment l’Union européenne et ses États membres peuvent-ils, par le biais de leurs différents programmes et acteurs financiers, accélérer les investissements en faveur d’une croissance durable et résiliente en Amérique latine?
Sesión 1: ¿Cómo puede la Unión Europea y sus Estados Miembros, a través de sus diferentes programas y agentes financieros, acelerar la inversión para lograr un crecimiento sostenible y resiliente en América Latina?Session 2: La Mobilisation des capitaux privés: quelles nouvelles solutions financières et quels partenariats pour plus d’impacts?
Sesión 2: La movilización del capital privado: nuevas soluciones financieras y nuevas alianzas para una transición justa con más impacto.Discours de clôture: / Palabras de Clausura: